Pour défendre l’environnement, il faut aller sur le terrain.*
Pour suivre les 300 dossiers de défense de l’environnement dont elle s’occupe en permanence, mais aussi pour connaître le terrain et le milieu naturel, l’association organise de nombreuses sorties de terrain pour ses deux secteurs d’activités la « Défense de l’environnement » et lrs « Chauves-souris »
SORTIES DE TERRAIN POUR LA DEFENSE DE L’ENVIRONNEMENT
– sortie mensuelle le 2ème week-end de chaque mois, en général sur une journée, souvent le samedi, sur un même secteur géographique (Pour y participer, contacter la CPE)
– autres sorties de terrain en fonction des besoins : problèmes urgents à voir sur le terrain, etc. en week-end ou en semaine.
Les sorties de terrain sont ouvertes aux membres actifs de l’association (et sympatisants sur invitation).
Elles ont pour but :
– la connaissance par les participants de l’environnement, de ses problèmes spécifiques, d’installations ayant un impact potentiel;
– la surveillance du milieu naturel : rivières, zones humides, milieux sensibles, nuisances et pollutions industrielles, urbaines, agricole, sites naturels fragiles, décharges sauvages, urbanisme sauvage, « grands projets », travaux d’aménagement, protection de la faune sauvage, publicité sauvage …;
– la détection des atteintes à l’environnement et l’initialisation de dossiers d’intervention auprès des autorités, voire des juridictions pénales ou administratives;
– le suivi de l’évolution sur le terrain des nombreuses affaires en cours traitées au siège dans des dossiers numériques et papiers spécifiques;
– la formation des nouveaux adhérents.
SORTIES DE TERRAIN CHIROPTERES
L’activité du « secteur chauves-souris » nécessite de très nombreuses sorties de travail, d’observations, d’études, de sauvetages et de protection de cette faune spécifique et nécessite une grande motivation.
Le nombre de participants à chaque sortie est volontairement très limité pour éviter le dérangement de la faune. (Aptitude et motivation sont nécessaires).
Les sorties de terrain sont aussi l’occasion pour la CPE de vérifier, avant toute intervention officielle, de la véracité d’atteintes graves à l’environnement qui lui ont été dénoncées (souvent anonymement) par des tiers, des riverains, des responsables locaux…
Certains se retournent vers la CPE, car trop souvent les pouvoirs publics restent sourds à leurs doléances.
L’association se refuse à intervenir dans des affaires qui ne sont que des problèmes de voisinage, sans grande conséquence pour l’environnement.
